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Au théâtre ce soir, un DSI sur scène !


Coup de chaud DSI Je profite de ces périodes de fêtes pour écrire un texte plus “léger” et évoquer une très bonne soirée que j’ai passé mi décembre à Paris.

Logo Intrinsec A l’initiative de l’entreprise informatique Intrinsec et avec l’aide de Ingénieur Humain, spécialiste de l’organisation d’événements originaux, j’ai eu le privilège d’assister à la représentation, au Théâtre de la Grande Comédie, d’une pièce qui met en scène ... un DSI”.

Son titre :  “COUP DE CHAUD ! Petits ennuis et gros tracas d'un DSI.”

C’est, à ma connaissance, une première mondiale ; le théâtre a souvent utilisé les “patrons” et les financiers comme têtes de turc, mais les DSI n’avaient jamais eu cet honneur !

Le spectacle

Le petit théâtre était comble ; de très nombreux DSI étaient venus accompagnés de leur conjoint(e), à qui ils étaient heureux de faire découvrir une face cachée de leur métier.  
Epinette J’ai eu le plaisir de saluer le “DSI de l’année 2008”, Georges Epinette, DSI des mousquetaires et membre du conseil du CIGREF (Club Informatique des Grandes Entreprises Françaises.

Parmi les acteurs j’ai beaucoup )apprécié :
- Le responsable des infrastructures, Don Juan amoureux de toutes les personnes féminines qu’il croise et... de ses serveurs.
- Un commercial informatique, plus vrai de nature ! Il ne laisse pas son interlocuteur prononcer un seul mot.


Les petits malheurs d'un DSI

Conscience professionnelle oblige, j’ai quand même pris quelques notes pendant le spectacle !
Alignement stratégique Voici une liste des principaux malheurs d’un DSI qui ont été abordés :
- les gadgets dont on doit équiper le PDG.
- L'alignement stratégique, recommandée par une consultante d’un cabinet de stratégie, qui est aussi une amie intime du...PDG.
- Le responsable des études qui a tout dans la tête.
- Les serveurs à la fiabilité douteuse, qui craignent le “coup de chaud” (D'où est né le titre de la pièce).
- Le DSI sous la coupe du responsable achat, qui mégote pour quelques centimes d’euros.
- La messagerie en carafe.
- L’absence d’un PRA (Plan de Reprise d’Activité).

Ce sont bien sur des malheurs “anciens” qui n’arrivent plus aux DSI lecteurs de ce blog, maintenant qu’ils ont tous basculé sur des solutions Cloud Computing et SaaS !

Toute la troupe Le public a beaucoup aimé le spectacle et longuement applaudi les organisateurs et les acteurs quand ils sont tous montés sur scène.

Je vous conseille vivement d’assister aux prochaines représentations de ce spectacle, qui devraient avoir lieu en 2009.
Le plus simple est de vous mettre en contact avec Intrinsec pour en connaître le calendrier.


Digital Natifs en entreprise, des opportunités en or ?


Petit rappel

Girl Digital millenial  Dans un texte de 2006, j’avais pour la première fois évoqué la trilogie des générations définie par Mark Prensky.
Résumons en quelques lignes ces trois familles :

- Digital Natif : né avec le téléphone mobile, l’iPod et la photo numérique. N’utilise plus l’email, mais le chat et le SMS.
- Digital Immigrant : a connu le courrier papier et le fax. Est devenu un accro de l’email et il lui arrive même ... de les imprimer.
- Analogiste : a décidé de rester sur ses outils des années 50. Fait imprimer ses emails par son assistante avant de les lire et d’y répondre par courrier papier.


Le calme qui précède la tempête !

Aborigène Les entreprises sont aujourd’hui habitées par des tribus “professionnelles ” qui appartiennent soit à la race des immigrants, soit à celle des analogistes. Ces derniers voient leur nombre se réduire de manière inquiétante, frappés par des épidémies de conversion au monde immigrant, de mise à la retraite anticipée ou des plans de départs volontaires.

Landing boat  Ces tribus professionnelles scrutent avec curiosité et/ou inquiétude les mers environnantes sur lesquelles elles voient apparaître de très nombreux engins de débarquement chargés de personnes “bizarres”, qui communiquent entre elles avec des outils et les langages qu’elles ne comprennent pas !


A lire d’urgence, pour se préparer : Born Digital

Born Digital book C’est l’un des tous premiers ouvrages qui abordent le thème de cette nouvelle “race” humaine, les personnes nées dans un monde numérique.

Chapters Born Digital  Que vous soyez parent, professeur ou futur employeur, la lecture de ce livre s’impose ; très complet, bien renseigné, bien écrit par deux chercheurs dont l’un est européen, il vous préparera au choc que représentera l’irruption, dans votre espace de travail, d’une population dont les modes de fonctionnement et les attentes ne sont pas... les vôtres.
La liste des thèmes abordés vous donnera, je l’espère, envie de le lire.


Alerte ! les digital natifs débarquent dans nos entreprises.

Bastille A moins de bloquer toutes les embauches ou de fixer une limite d’âge minimale à l’entrée dans votre entreprise, ce qui est tout à fait illégal, vous allez ouvrir les portes de votre entreprise à ces “Digital Natifs”.

Comment les accueillr ?
Il y a au moins trois scénarios possibles :
Troisième age - Leur demander de s’adapter aux pratiques et aux outils des tribus anciennes, les vôtres. A la première opportunité, ils quitteront ces rives inhospitalières et vous laisseront transformer, progressivement, votre entreprise en résidence du troisième age.

Cohabitation - Les ignorer, mais leur donner les “joujoux” qu’ils réclament, chat, accès ouvert à Facebook et YouTube (Que vous considérez comme des gadgets sans valeur professionnelle). Il se créera un espace de “cohabitation”, plus ou moins pacifique, entre deux mondes qui s’ignorent ; dommage !

Ces deux démarches sont, à long terme, suicidaires pour les entreprises qui vont se couper du monde de demain et d’un sang frais indispensable à leur renouvellement et à leur survie.

C’est, bien sûr, une troisième voie qui est la réponse intelligente à ce challenge !


D’un conflit de générations à une collaboration constructive

Young & Old C’est une première, les nouveaux embauchés, digital natifs, ont beaucoup à ... apprendre à leurs aînés, immigrants et analogistes.
En même temps, comme tous les jeunes qui rentrent dans la vie active, ils ont beaucoup à apprendre de ces mêmes aînés.

Organiser, promouvoir, gérer un transfert de compétences “bi-directionnel”, entre les digital natifs et les digital immigrants, c’est peut-être l’un des meilleurs investissements que peut faire, en 2009, une entreprise.

Les digital natifs ont deux apports potentiels importants :
- La maîtrise des outils numériques
- Une grande familiarité avec les usages collaboratifs.
Comment en tirer parti, intelligemment ?


La maîtrise des outils numériques

 Un digital natif n’a jamais lu le mode d’emploi de son appareil de photos numérique, de son téléphone mobile, de son iPod ou de son PC portable. 

Ce sont des extensions naturelles de leurs mains ou de leurs cerveaux.  Observez-les dans le métro ; ils composent des SMS sans regarder le clavier tout en dialoguant avec leurs amis. N’essayez SMS nonnes pas de les imiter, vous auriez l’air ridicule !

Par contre, l’entreprise pourra, chaque fois qu’elle installera un nouvel outil numérique, en ...  confier l’acculturation aux digital natifs !

Les avantages de cette démarche sont évidents :
Young surfer  - Les formateurs ont une maîtrise innée des outils.
- Confier, très tôt, à de jeunes embauchés, la responsabilité de former leurs “anciens”, va leur faire découvrir que, transférer des compétences, ce n’est pas aussi simple que cela !
- Les personnes formées le seront par des personnes de leur entourage, à qui elles pourront, ensuite, demander de l’assistance chaque fois que cela sera nécessaire.
- Les coûts de ces actions de formation sont très bas.

- Est-ce que la culture de votre entreprise est prête à relever ce challenge ?
- Est-ce qu’un cadre de 35 à 60 ans est prêt à montrer à un “gamin” de 22 à 27 ans à quel point il est nul en technologie ?
- Est-ce que les digital immigrants ne vont pas craindre de perdre leur “autorité” en mettant à nu leurs limites devant leurs jeunes collaborateurs ?
Ce sont ces questions, organisationnelles et humaines, qui pourraient, éventuellement, bloquer de telles initiatives.


Grande familiarité avec des usages collaboratifs

Collaboration Un profil sur Facebook, l’écriture d’un blog ou des commentaires sur ceux de leurs “copains”, la rédaction en groupe de la réponse à un cas rédigé avec Google Apps, la liste est longue de ces usages collaboratifs qui leur paraissent naturels ; ne leur dites surtout pas que c’est du travail collaboratif, ils ne vous comprendraient pas ! Pour eux, c’est un mode d’échange et de travail “normal”.

Logo sharepoint Quand on sait à quel point il est difficile aujourd’hui, dans l’immense majorité des entreprises, de promouvoir des usages collaboratifs, quand on a vu d’innombrables échecs d’implantation d’outils logiciels, dit collaboratifs, on mesure mieux à quel point l’apport des digitals natifs peut être décisif dans ce domaine.

Nénuphars Pour réussir un projet de réseau social, de wiki ou de bureautique 2.0, une entreprise intelligence choisira donc comme “noyau” du groupe des digital natifs.
Comme des nénuphars sur un lac, le réseau social, le wiki pourra accroître sa surface en y ajoutant les digital immigrants qui se trouveront pris dans une dynamique de croissance.

Cette familiarité des digital natifs avec les usages collaboratifs a encore plus de valeur que leur maîtrise des outils.  C’est probablement la clef du succès de la diffusion de ces usages dans des entreprises qui n’en n’ont pas, aujourd’hui, la culture.


Transferts compétences métiers

Speed_limit  Les digital natifs ont aussi de très nombreuses limites, comme toute personne qui commence une vie professionnelle ; elles sont exacerbées par leur culture numérique, qu’ils croient souvent, naïvement, retrouver dans l’entreprise qui les accueille.

Dans ce transfert de compétences vers les digital natifs, quels sont les axes d’action prioritaires :

- La non-compréhension de la technologie sous-jacente ! Je suis souvent surpris de leur ignorance totale des infrastructures qui rendent possibles ces usages collaboratifs, et de leurs contraintes en terme de sécurité, confidentialité et fiabilité.

- L’ignorance des contraintes organisationnelles, des règles du pouvoir, des minima de procédures dont ont besoin les entreprises pour fonctionner.

- Leur expliquer qu’ils ne sont pas plus armés pour leurs activités métiers, de banquiers, de commerciaux ou d’ingénieurs qu’avant et que la maîtrise des outils n’est pas une garantie de compétence métier !

Quoi de neuf, me direz-vous ? Cela, les entreprises le font depuis fort longtemps !
La question à laquelle il est aujourd’hui difficile de répondre, au vu du peu de recul historique, est simple :
Est-ce que la création d’un processus symétrique d’apprentissage entre les digital natifs et les digital immigrants peut améliorer significativement l’apprentissage des deux groupes ?
J’aurais envie de répondre oui ; j’espère que les prochaines années vont confirmer la justesse de ce diagnostic.


Le futur ?

IBrain book  Au moment de terminer ce texte, je viens de découvrir un ouvrage publié par un médecin, iBrain (le cerveau internet ?) qui fait l’hypothèse que notre cerveau humain va être, rapidement, modifié par nos usages intensifs des outils numériques.

C’est aussi l’une des thèses principales de notre grand philosophe Michel Serres, lorsqu’il démontre que l’écriture et Gutenberg ont profondément changé la manière dont nous utilisons notre cerveau.

Je viens de commander ce livre et cela me donnera, peut-être, l’occasion d’écrire un nouveau texte sur un sujet qui n’a pas fini de créer des débats :

Digital natif : un mutant ? Un nouveau mode de pensée, d’utilisation de nos capacités cognitives ?

Je ne résiste pas au plaisir de poser une dernière question :

Brain & WWbrain Est ce que, dans quelques dizaines d’années, déconnecter un digital natif d’Internet aura le même effet que celui qui consiste aujourd’hui à déconnecter un frigidaire du réseau électrique, c’est à dire le transformer en ... un objet sans valeur !

Utopique ? Inquiétant ? Inéluctable ?


Web 2.0 : La marginalisation, définitive, de Windows sur les PC


Google Native Client Home page Google frappe fort, une fois de plus !
Native Client est une annonce majeure, qui va, à moyen terme, confirmer la pertinence des choix de solutions Web 2.0 faits par les entreprises innovantes.

FatCar Les accros du poste client obèse, gentiment appelé client lourd, regardaient avec dédain les partisans des CWR, Client Web Riche, utilisés pour accéder aux applications Web 2.0 depuis un navigateur moderne.

Ils reprochaient à ces solutions leur incapacité à gérer “efficacement” des applications “sérieuses”, qui consommaient beaucoup de puissance de calcul.

C’était, parfois, vrai aujourd’hui ; ce ne le sera plus, demain !


Native Client : les principes

Google utilise NaCl comme abréviation de Native Client. Le fait que ce soit le symbole chimique du Clorure de Sodium, plus connu sous le nom de ...sel, n’est probablement pas un hasard, mais il faudra leur demander pourquoi !

Native Code Expliqué 1  - Native Client (NaCl) a un objectif simple : utiliser, dans le cadre d’usages Web 2.0 intensifs, la puissance de calcul du processeur du poste de travail où est installé le navigateur. Pour le moment, Native Client fonctionne uniquement avec les processeurs x86, d’Intel, AMD, Via ou autres fournisseurs de processeurs compatibles.

- NaCl est un logiciel Open Source, ce qui, venant de Google, ne surprendra personne !

- NaCl utilise une double Sandbox (boîte à sable), technique classique en informatique pour rendre le plus indépendant possible des composants logiciels (SB1 et SB2 sur le schéma). Ceci doit éviter le transfert accidentel ou malveillant de codes logiciels qui pourraient mettre en danger la sécurité du poste de travail.
L’essentiel des efforts des équipes NaCl ce sont concentrés sur cette problématique de la sécurité et c’est la raison pour laquelle ils ont choisi de doubler les sandbox.

- NaCl garantit une totale indépendance vis-à-vis :
    - du système d’exploitation du poste de travail : il est déjà disponible pour Windows, MacOS et Linux.
    - Du navigateur utilisé : NaCl fonctionne avec Chrome, Firefox, Safari ; j’imagine qu’une version IE 8 verra très vite le jour.
Ce point est fondamental : l’universalité du Web est préservée ! 
Tout objet d’accès à Internet utilisant un processeur x86 peut, potentiellement, utiliser NaCl.


Native Client : fonctionnement

Lorsque le poste client “NaCl” accède à une application Web (flux 1), tout fonctionne de la même manière que si NaCl n’existait pas.

Native Code Expliqué 2 Pour des applications classiques, raisonnablement consommatrices de ressources de calcul, rien ne change et c’est très bien.
Dans le cas de besoins intensifs de calcul, pour un jeu vidéo, un modèle mathématique à visualiser en 3D, un calcul financier complexe, NaCl se met en œuvre et utilisera toute la puissance de calcul du processeur (flux 2), mais en totale indépendance vis-à-vis du système d’exploitation installé.

NaCl vient de démarrer, mais les premiers résultats obtenus sont spectaculaires.
Native Client performances Le tableau ci-joint montre les performances d’une application Quake, jeu en 3D très consommateur de ressources.

Les différences entre le logiciel installé directement sur le poste de travail et l’exécution depuis le Web avec NaCl sont non signifiantes.

Les équipes NaCl ont comme objectif d’obtenir en moyenne 95 % des performances des logiciels natifs ; ils semblent sur la bonne voie !


Le “Serveur / Client”, substitut du “client / serveur” !

Et si la quatrième génération de poste de travail venait de naître ?
- Génération 1 : Terminal passif et Minitel
- Génération 2 : Client / Serveur et domination du client Windows
- Génération 3 : Web 1.0, arrivée du client universel navigateur.
- Génération 4 : Serveur / Client !

Modèle Serveur Client Dans cette quatrième génération, l’universalité du Web est garantie et aucune application n’est installée sur le poste de travail.
La grande amélioration, en termes de performances, vient du fait que le “serveur” peut décider, à tout moment, d’utiliser la puissance du processeur du poste client pour certaines applications.

Le poste de travail reste un outil d’infrastructures, sans applications, mais toute sa puissance de calcul est mise à la disposition des applications qui en ont besoin

Toutes les applications grosses consommatrices de ressources, telles que Photoshop ou Second Life, pourront proposer des versions Web, partageables par tous les utilisateurs, en mode SaaS, Software as a Service.

Pour les personnes ayant un sérieux bagage technique, il est possible de lire un document très complet, “Native Client: A Sandbox for Portable, Untrusted x86 Native Code”, qui explique les principes de fonctionnement de Native Code. Le PDF est disponible sur le site Native Client.
L’essentiel de l’exposé est consacré à la dimension sécurité.


Quels objets d’accès Web, demain ?

Tous les éléments de la stratégie de Google se mettent en place, rapidement.
Chess
Google a annoncé en 2008, trois logiciels Open Source :
- Gears, qui permet de travailler “off-line” avec son navigateur, les rares moments où l’on n’est pas connecté à un réseau.  Gears utilise la capacité de stockage du poste de travail pour garder dans le cache du navigateur les informations nécessaires.
- Chrome, un navigateur très performant pour exécuter les applications Web natives, en particulier avec JavaScript.
- Native Client, pour utiliser la puissance de calcul du poste de travail.

Il n’est pas nécessaire d’être un grand guru de l’informatique pour comprendre que, ensemble, ces outils couvrent l’essentiel des fonctions d’un ... système d’exploitation.

Qui aura encore, demain, besoin d’un OS lourd, complexe, cher tel que Windows Vista ou Windows seven ?

On peut aussi rajouter à cette liste de nouveaux produits Open Source de Google :
- Android, permettant de créer une plateforme performante pour les smartphones, qui seront, demain, les objets d’accès au Web les plus utilisés.

Android a été adopté par la majorité des acteurs du monde de la téléphonie et signe l’arrêt de mort de .... Windows mobile.
Cette version de Windows n’a jamais connu le succès de ses cousins PC et les deux futurs leaders seront Symbian, Open Source et Android, Open Source !


A retenir, par tous les décideurs informatiques

- Les solutions Web 2.0 actuelles fonctionnent très bien, pour les usages “normaux” de l’immense majorité des salariés.

- Native Client est une confirmation de l’importance des CWR, Client Web Riche, qui utilisent la puissance du poste de travail sans avoir besoin d’y installer des applications.

- Quand Native Client sera largement déployé, à l’horizon 2010 - 2012, même les personnes qui ont besoin d’exécuter des applications qui consomment beaucoup de puissance pourront s’appuyer sur des architectures CWR pour ces besoins.

Loeb C’est donc une excellente nouvelle pour tous les décideurs qui ont compris que l’avenir des Systèmes d’Information est dans le Web.

Ils peuvent, avec encore plus de tranquillité, accélérer cette migration en sachant que l’une des dernières réticences des partisans du “client lourd” n’aura bientôt plus de raison d’être.